Archives de catégorie : La Réunion (France)

Ankanga et le dragon d’Alamainstou

Nazir HOBAYA (Texte) – Florence LAFLEUR (Illustrations). Océan Éditions – Association Région Sud Terres Créoles (ARS Terres Créoles). Album jeunesse. 1995. 9782908568352. Prix Jacques Lacouture – Grand Prix du livre de l’océan Indien pour la jeunesse 1994

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Océan Éditions

Présentation de l’auteur
Hobaya s’est souvenu des contes racontés par sa tante Sakina. Elle, qui donnait aux enfants et aux vents toutes ses paroles, n’a rien écrit. Mille fois fut narrée l’histoire de Raboukétra, le roi-grenouille d’une nation décimée par la rapacité du serpent Dô, de sa rencontre avec la pintade Ankanga, que Raboukétra sauva du chasseur ; et la promesse reconnaissante de celle-ci de délivrer la mare d’Alamaintsou, choisissant le sacrifice de sa vie pour entraîner dans la mort commune Dô le serpent, transpercé par les os de la pintade qu’il avait ingurgitée.

Trois contes fous

Daniel VAXELAIRE (Adaptation). Océan Éditions. Album jeunesse. 1994. 9782907064217

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Daniel VAXELAIRE

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Librairie Gerard

4ème de couverture
Il y a sûrement un nom savant pour qualifier la méthode qui est à l’origine de ces contes.
Comme les mots de plus de douze lettres nous font un peu peur, nous l’appellerons “grand brassage de cervelles”, et tant pis pour les savants: c’est le résultat qui compte.
En trois demi-journées, au cours de la Fureur de Lire 1993, trois classes de primaire, invitées par la ville de Saint-Denis à l’initiative du service culturel, ont produit trois histoires. Trois classe comme les autres, dont les enseignants n’attendaient pas de miracle. Et personne ne leur avait donné des vitamines… Transcrits par Daniel Vaxelaire, ces trois contes – pas si fous que ça – rappellent que les petits ont parfois plus d’imagination que les grands…

Visages de l’usine

Gilles GÉRARD (Texte) – Yann ARTHUS-BERTRAND (Photographies). Muséum Stella Matutina. 1994

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Site La famille esclave à Bourbon (Île de La Réunion)

4ème de couverture
« Nou té èm travay, solman i péyé in ti pé ». Nous aimions notre travail mais on était peu payé.
Cette réflexion faites par de nombreux anciens travailleurs de l’usine Stella Matutina symbolise, y compris par sa pudeur, le regard qu’ils portent sur leur vie passée. Une vie de travail et parfois aussi de misère, de souffrances physiques et mentales, mais également de fierté et de dignité. Leurs regards sont multiples et leurs paroles diverses.