Archives de catégorie : La Réunion (France)

Trois contes fous

Daniel VAXELAIRE (Adaptation). Océan Éditions. Album jeunesse. 1994. 9782907064217

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Océan Éditions
Daniel VAXELAIRE

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Librairie Gerard

4ème de couverture
Il y a sûrement un nom savant pour qualifier la méthode qui est à l’origine de ces contes.
Comme les mots de plus de douze lettres nous font un peu peur, nous l’appellerons “grand brassage de cervelles”, et tant pis pour les savants: c’est le résultat qui compte.
En trois demi-journées, au cours de la Fureur de Lire 1993, trois classes de primaire, invitées par la ville de Saint-Denis à l’initiative du service culturel, ont produit trois histoires. Trois classe comme les autres, dont les enseignants n’attendaient pas de miracle. Et personne ne leur avait donné des vitamines… Transcrits par Daniel Vaxelaire, ces trois contes – pas si fous que ça – rappellent que les petits ont parfois plus d’imagination que les grands…

Visages de l’usine

Gilles GÉRARD (Texte) – Yann ARTHUS-BERTRAND (Photographies). Muséum Stella Matutina. 1994

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Site La famille esclave à Bourbon (Île de La Réunion)

4ème de couverture
« Nou té èm travay, solman i péyé in ti pé ». Nous aimions notre travail mais on était peu payé.
Cette réflexion faites par de nombreux anciens travailleurs de l’usine Stella Matutina symbolise, y compris par sa pudeur, le regard qu’ils portent sur leur vie passée. Une vie de travail et parfois aussi de misère, de souffrances physiques et mentales, mais également de fierté et de dignité. Leurs regards sont multiples et leurs paroles diverses.

Votez Ubu colonial

Emmanuel GENVRIN. Éditions Grand Océan. Théâtre. 1994. 9782950768881

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Théâtre Vollard
Emmanuel GENVRIN

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Théâtre Vollard

Présentation
« En 1993, le président du conseil général de La Réunion, plusieurs maires et ” gros zozos ” sont mis en examen par la justice. Une révolution dans une île où règnent depuis toujours l’impunité et le copinage. Ambroise Vollard en parlait déjà dans son ” Ubu Colonial ” de 1900. Pourquoi ne pas ressusciter Ubu dans La Réunion d’aujourd’hui ? La préparation du spectacle nous fit beaucoup rire : on avait même édité un vrai-faux journal à scandales et l’affiche était la réplique d’une affiche électorale. Cela n’a pas été du goût des financeurs. En sortant de la représentation, les officiels faisaient une tête d’enterrement. Je me souviens du directeur régional des affaires culturelles qui disait : ” Vollard, c’est fini “. Les critiques locaux prirent peur. Au festival Paris Quartiers d’Été, le spectacle provoqua un véritable engouement du public. Depuis, cet Ubu est une sorte de référence… » Emmanuel Genvrin