Archives de catégorie : La Réunion (France)

Danièle MOUSSA

Poètesse

 daniele.moussa974@gmail.com
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Née en 1943 à Saint-Denis, Danièle Moussa exerce comme institutrice spécialisée pour enfants déficients intellectuels jusqu’à sa retraite en 1990. Membre du groupe de dialogue inter-religieux (GDIR), elle s’implique aussi dans l’humanitaire à la fondation Abbé Pierre et au groupe de paroles Soleil dann kèr ou en visitant les personnes âgées.

Entrée en écriture en 1998, elle publie à l’UDIR plusieurs recueils de poésie, comme Kaspa mon sièl (1998) et Akoz Akoz (2000) et récits de vie, comme Lettre à Mouna (2005) ou Ravnal mon fanal (2009).

Elle participe également à de nombreux concours et animations littéraires et poétiques et intervient dans des établissements scolaires, bibliothèques, médiathèques et au centre pénitentiaire.

Lettre à Mouna pour parler des kabri lé sèr (4ème de couverture du dernier ouvrage)
Avec Kabri lé sèr, Danièle Moussa nous invite aujourd’hui au plus secret d’elle-même. Elle nous raconte une histoire d’amour. Une vraie histoire d’amour qui retrace épistolairement toute son enfance. Elle a choisi d’écrire à Mouna ses retrouvailles avec Chantale. Plus de soixante ans après avoir été avec cette dernière à l’école du Sacré-Cœur. Cette école était alors tenue par les religieuses de Cluny à Saint-Denis.
Souvenirs. Souvenirs.
Plus de soixante ans sans se voir et reconnaître son amie d’enfance, comme ça, de dos, dans l’animation passante de la rue Maréchal-Leclerc, cela tient presque du miracle. Le grand minaret lui-même n’en revient pas ! Mais il y a toujours comme un instinct qui permet à ceux qui se sont connus de se reconnaître par une sorte d’aimantation réciproque. Cela ne s’explique pas. Connivences. Et s’il y a un code, un mot de passe pour entrer en communication sur la même longueur d’ondes, c’est tant mieux. En l’occurrence, Danièle émet un « Pstt ! Kabri lé sèr ! » Tilt. La réception se fait cinq sur cinq. Elles se reconnaissent tout de suite et joyeusement, elle et Chantale, comme « cabris des bonnes sœurs ».
Monseigneur Gilbert Aubry

Autres publications
Les mots qui pleurent…. Danièle MOUSSA (Texte) – Huguette PAYET (Illustrations). Défense du patrimoine architectural de La Réunion. 2017
Des mots contre l’oubli. Collectif. Poésie. France Alzheimer Réunion. 2012
À mes frères haïtiens. Danièle MOUSSA. Poètes pour Haïti. Poésie. 2010
La Rényon dann kër. Robert GAUVIN – Danièle MOUSSA – Dominique CARRÈRE. Tikouti. CD. 2007. 3760086693592
Une incroyable amitié – In lamitié inkroiyab – An incredible friendship. Danièle MOUSSA. Académie de La Réunion – Floraisons. Album jeunesse. 2006-2007
Le journal de la paix. Collectif. Ministère de la jeunesse et des sports / ARSTC & Editions du Piton des Neiges. Poésie. 2000. 978-2923158501
Postésie – Concours de l’enfant de l’an 2000. Collectif. Poésie. La Poste Paris-Ouest. 2000

Manifestations

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20/07/2019

Didier MURAT

Auteur

 d.murat751@laposte.net
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Né à La Réunion, Didier Murat, inspecteur auditeur bancaire, est diplômé de l’IAE d’Aix-en-Provence et de l’IFG Paris. Ancien chargé d’enseignement à l’Université de La Réunion et ancien formateur agréé DDTE FP dans le cadre de l’ACCRE (actuel Nacre) afin d’aider les chômeurs à la gestion de leur projet d’entreprise, il est aujourd’hui membre de la Société académique Arts-Sciences-Lettres Paris, du Collège Lettres de l’Académie Arts et Sciences de la Mer et des Amis du Musée de la Compagnie des Indes de la ville de Lorient. Il œuvre également au sein de diverses associations. Il est l’auteur de Créer son entreprise à La Réunion ce département français d’outre mer, d’Approche de l’environnement à l’attention de ses étudiants et de plusieurs ouvrages aux éditions Amalthée.

Autres publications
Créer son entreprise à La Réunion ce département français d’outre mer. Didier MURAT. Autoédition. 1997
Approche de l’environnement. Didier MURAT. Autoédition. 1997

Contributions aux arts, sciences et lettres, de La Réunion à la République française… Contributions des arts, sciences et lettres, de la France aux signes monétaires de La Réunion, racontées à nos enfants
À partir de quelle époque la numismatique fut traitée comme une valeur artistique ? Afin de présenter des caractéristiques esthétiques (Arts…), les objets de ce domaine sont le fruit de techniques complexes de travail des métaux et alliages précieux (Sciences…) et délivrent un message historique (Lettres…). À la Réunion, quels ont été les apports créoles aux “Arts-Sciences-Lettres”, un éclairage inattendu mais combien nécessaire pour comprendre notre place au sein de la République au fil de l’Histoire et, pourquoi pas, appuyer ainsi un projet de mise en place de notre propre Musée d’art monétaire ?

Manifestations
2019 Salon du livre Athéna de Saint-Pierre (La Réunion)

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12/01/2021

Anne NABAHA

Auteure

 nabaha.anne@gmail.com
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Issue d’une famille réunionnaise où l’instruction a été de tous temps absente, les grandes portes du savoir sont restées hermétiquement closes sur le passage de l’auteur. Comme option, Anne Nabaha décortique l’être humain. Elle étudie cette créature, en profondeur. La face cachée d’une personnalité se dévoile. La psychologie l’aide à voir au-delà de la réalité. Cela l’aide à cerner les personnages de ses romans. Elle l’exprime à travers des mots simples, des mots crus, des mots pour des maux. Elle a déjà deux romans à son actif. Le premier, « La Mata-Hari des îles » est publié en 2019. Il est en partie autobiographique. En 2021, l’auteur fait paraître son second roman L’ombre de la liberté. Il est écrit à partir des confidences qu’elle a recueilli.

L’ombre de la liberté (4ème de couverture du dernier ouvrage)
Une fille se fait violer dès ses quatorze ans par son père dans la maison familiale, presque sous le nez de la mère. Le cauchemar n’en finit pas. Le père pourrait s’attaquer à sa jeune soeur. Chantage. Elle pense protéger sa famille. La mort du père est vécue comme une libération. Un nouvel espoir. La vie reprend son cours. La fille est maintenant jeune femme. Elle fait de grandes études, s’épanouit dans son métier, noue une relation avec un homme. Elle accepte à contre-coeur le mariage. Quelques années de vie commune suffisent pour que son homme se transforme. Le mari remplace le père. De nouveau, elle se fait violer. Elle est battue. Personne ne le sait. Elle protège l’image du parfait mari, un bel homme bien sous tous rapports. Elle finit séquestrée, bientôt assassinée. Elle arrive à s’enfuir. Elle doit subir le regard des autres, jusqu’au procès. Ayant perdu le goût de vivre, elle vit en recluse dans son petit appartement, son sanctuaire. Elle soigne ses traumatismes à l’abri des regards. Elle accepte enfin d’avoir des amants. Elle refuse d’entendre parler d’amour. Elle règle ses comptes avec les hommes, le père, le mari, l’amant.

Manifestations

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31/12/2021